Jeudi 02 Septembre 2004
"Commérages " sketch vidéo intégré au film Sabah
--> présentation et scénario
Le film documentaire fiction "Sabah" dont le tournage démarre en septembre 2004 , met en scène Malices, une association fictive de Villetigny-sur-Seine (ville imaginaire). L'association Malices est censée promouvoir la parole des jeunes par le biais de productions vidéos. Nous avons donc crée des petits courts-métrages censés être réalisés par les jeunes de cette association.
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Description de l'association fictive Malices misE en en scène dans le film Sabah
--> descriptif servant à l'écriture du scénario
L’association « M.A.L.I.C.E.S.» : une association qui n'existe pas mais à laquelle il faut donner corps... Sabah Lounès a créée l’association Malices avec des ami(e)s alors qu’elle était au lycée.
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(Sabah) La lettre de Medhi aux élèves du collège Jean Macé
--> lettre d'un personnage fictif de 17 ans, frère de Sabah
Certains éléments du film Sabah intègreront des témoignages écrits par des élèves de collèges dans le cadre d’ateliers d’écriture mis en place par l’As de PIC en partenariat avec le service prévention de la Ville de Sainte-Geneviève-des-Bois et l’écrivain Sadek Aïssat. Ce travail s'est appuyé sur une lettre censée être écrite par Medhi, 17 ans, qui raconte le drame dont il a été l'acteur : Medhi « s’amuse » à lancer des pierres sur un véhicule de pompiers sans savoir qu’ils portent secours à sa propre sœur, Sabbah, victime d’un accident mortel et dont la vie dépend de l’arrivée rapide des pompiers…
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Projet Sabah : la lettre collective des élèves du collège Jean Macé à Medhi Lounès, 17 ans, personnage fictif du film
--> résultat de 4 séances d'ateliers d'écriture
Ateliers d'écriture autour du film Sabah
--> le personnage fictif d'un fait divers fictif écrit à une classe de collégiens
Certains éléments du film Sabah intègreront des témoignages écrits par des élèves de collèges dans le cadre d’ateliers d’écriture mis en place par l’As de PIC en partenariat avec le service prévention de la Ville de Sainte-Geneviève-des-Bois et l’écrivain Sadek Aïssat.
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