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Toute l'équipe de l'As de PIC tient à exprimer sa tristesse à l'annonce du décès brutal de l'écrivain Sadek Aissat dans la nuit du 5 au 6 janvier 2005.
Sociologue de formation, militant actif du Parti -interdit- communiste algérien, journaliste (au Matin d’Alger, Révolution, Regard ou l’Humanité), , Sadek était aussi -surtout- un écrivain de talent : "l'Année des chiens, La cité du précipice". (Ed. Anne Carrière) et "Je fais comme le nageur dans la mer" (Ed. de l'Aube et Barzakh Editions 2004), coauteurs avec Jacques Dimet et Paul Euzières de "Algérie, une guerre à la société "(Ed.Sociales).
Sadeh avait quitté l'algérie quand le ciel s'est assombri de cette terreur qui allait ensanglanter sa terre natale. Ayant acquis la nationalité française, il avait mis sa passion de l'écriture au service des autres. Il avait animé des ateliers d'écriture, initiant des jeunes issus de la seconde génération mais aussi de jeunes Français de Sainte-Geneviève-des-Bois au travail de l'écriture.
Passionné de musique arabo-andalouse, il avait commencé à se jouer en public, notamment avec le groupe le Diwan de Bechar, et l’Orchestre national de Barbès.
Au mois de juin 2004 Sadek avait dernièrement travaillé avec nous sur l'écriture d'une scène du film Sabah avec les élèves du collège Jean Macé de Sainte-Geneviève-des-Bois
Sadek Aïssat a été inhumé dimanche 9 janvier au cimetière de Sidi Aïssa à Reghaïa. Nous exprimons nos sincères condoléances à la famille de l'écrivain et dédicaçon le film Sabah à sa mémoire.
Commentaires :
Anonyme |
sadek était tro tigen je l'es vue la veille de sa mord je suis degouter qu'il soit plus parmi nous...a toi sache qu'on t'adore.....
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nadia 28-05-05
à 13:56 |
au revoir<p>Sadek l'aziz est parti et il ne reviendra plus. A tous ceux qui l'aimaient : célébrez-le, n'oubliez son message, ce pour quoi il vivait. Il était l'intelligence, la générosité et la souffrance incarnées. Sadek est parti et une partie de moi est morte avec lui... wincicala N</p>
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à 15:03